A la une : 30 000 visiteurs franchissent les tourniquets du Colisée de Moncton
A la une : 30 000 visiteurs franchissent les tourniquets du Colisée de Moncton

A la une : 30 000 visiteurs franchissent les tourniquets du Colisée de Moncton

Ce papier ayant pour thématique « l’automobile » se propage sur internet, nous avons voulu vous le révéler dès à présent.

Le titre troublant (30 000 visiteurs franchissent les tourniquets du Colisée de Moncton) est évocateur.

Sachez que l’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

L’encart peut en conséquence être pris au sérieux.

Texte :

Angela LeBlanc semblait déjà séduite. «C’est celle-là que je veux», affirme-t-elle, en regardant une superbe moto Harley Davidson rouge et noire.

Son conjoint Ron McFadden, qui possède une Harley Night Train depuis déjà 20 ans, semblait tout à fait d’accord.

Le couple faisait partie des quelque 30 000 personnes qui ont franchi les tourniquets du Colisée de Moncton en fin de semaine, pour participer à la 50e édition de l’exposition Radical Speed Sport.

«On est ici pour acheter si on peut trouver un prix qui a de l’allure», mentionne celui qui est pompier à Moncton.

«J’aime la liberté que ça nous donne. Être sur une moto, ça libère le cœur et l’esprit.»

Sa conjointe se voyait déjà sur sa moto en vacances sur les routes du Nouveau-Brunswick.

«Je faisais de la moto avant d’avoir mes enfants. On veut passer du temps ensemble sur la route et se détendre», souligne-t-elle.

Roger Bourgeois, lui, était sur place, avec une douzaine de voitures sport, gracieuseté du Club de Corvettes de Moncton.

Pour lui, les voitures sont une passion, une passion qui lui permet de voyager un peu partout à travers l’Amérique.

Le résident de Dieppe participe à des expositions ou des événements pratiquement toutes les fins de semaines avec ses belles de la route.

Parmi la douzaine de Corvettes, on notait un modèle 1963 et une 1976.

«J’aime cette voiture depuis que j’ai 18 ans et je vais bientôt en avoir 67», souligne-t-il.

«C’est une belle voiture de sport qui ne rouille pas. J’adore la conduire. Avec le club, ça nous donne l’occasion de rencontrer plusieurs autres personnes de partout au Canada ou aux États-Unis.»

Celui qui possède deux de ces bolides a évidemment visité l’usine et le musée de la Corvette, à Bowling Green, au Kentucky, avec une caravane de plus de 350 personnes.

Le club de Moncton compte présentement une centaine de membres, mais Roger Bourgeois espère que l’événement de la fin de semaine leur permettra d’atteindre le chiffre de 150.

Depuis le début

Au deuxième étage, un petit groupe de personnes s’affairait à régler mille et un détails pour s’assurer que tout fonctionne rondement.

Dans tout ce chaos, une charmante dame accueille les visiteurs avec un grand sourire.

Sue Kay est responsable des inscriptions et dirige le bureau pour cet événement d’envergure.

La passionnée de voiture est à son poste depuis la toute première édition, en 1973.

«Je me souviens de la première exposition. J’étais toute jeune à l’époque. J’étais célibataire, mais j’ai rencontré mon mari dans une de ces foires», raconte-t-elle.

«L’exposition se déroulait seulement sur la patinoire du Colisée à ce moment, puisque l’aréna n’était pas encore construit. Mais tout ça a grandi très rapidement.»

Elle dit avoir découvert sa passion pour les voitures complètement par hasard.

«J’ai participé à un rallye avec une amie à moi et j’ai eu la piqûre. Je me suis impliquée avec un club automobile à Saint-Jean, puis à Moncton. J’aime particulièrement les Hot Rods. J’adore leurs couleurs et leur style», lance-t-elle avec enthousiasme.

Un succès

Le promoteur Joe Savoie, de Néguac, parlait d’un autre franc succès, avec plus de 300 véhicules de toutes sortes, une quarantaine d’exposants et près de 30 000 amateurs.

Il est lui-même un passionné de voitures.

«Quand j’avais cinq ans, j’avais une collection de voitures miniatures. Je devais en avoir au moins 800 ou 900», raconte-t-il.

À 30 ans, il décide de s’acheter une moto, alors que son père fait l’acquisition d’un Pontiac Chieftain 1957.

Il l’accompagne en Nouvelle-Écosse pour aller chercher le fameux bolide.

À Truro, son père lui donne les clés et lui dit: c’est toi qui va conduire jusqu’à Moncton.

«Pour moi, la moto, c’était fini. Je me suis acheté un Chevrolet Bel Air 1956, que j’ai encore», souligne-t-il.

Une autre passion venait de naître.

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